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Les Hommes du RUGBY CATALAN ......  ( des DEUX RUGBYs)

Cliquez sur le nom du Joueur ou de l'article.

--- Puig AUBERT ( dit PIPETTE XIII/XV).
---1908 1910 l'A.S.P.
---Pierre ALBITRE (céret)
---René PUIG (Céret)
---Elie DELONCA (Usap)
---Jep DESCLAUX (Usap)

--- Hommage  à MARC de ses coéquipiers Crabos
--- Armel  COSTA    

 

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ARMEL COSTA

 

 


Marcel SALVAN RUBRIQUE DEPARTEMENTALE
Ref No 1015 du 4 Janvier
Parution dans la semaine

 

PÉZILLA LA RIVIERE

CARNET DE DEUIL
A NOTRE AMI ARMEL COSTA

Armel était notre ami, fidèle en amitié, toujours prêt à rendre service, très attentionné, très
attentif, évitant tout conflit, il avait en lui cette bonté d’un homme de cœur. Passionné dès sa
plus tendre enfance par le sport, le Rugby en particulier pour lequel il se faisait une joie d’en
parler, jusque dans ses derniers instants. ARMEL avait profondément en lui deux amours, sa
propre famille et ses petits- enfants qu’il adorait plus que tout, et celle à laquelle il y
consacrera une grande partie de sa vie qui était sa grande passion qu’il avait pour NOTRE SPORT.

Il pratiqua tout jeune le RUGBY au sein du Racing, puis ce fut ses débuts au sein du grand
club du Roussillon l’USAP, avec lequel il participa à la célèbre finale de 1955 et qu’il
remporta. Ce fut serte une période exaltante au cours de laquelle avec ses camarades qui
malheureusement certains ont disparu reste et restera dans la mémoire du Rugby catalan. 1955
est une année dont on parle encore aujourd’hui, c’est une référence pour les jeunes qui
choisissent le Rugby. Nos amis de l’époque avaient l’amour du maillot et fier de défendre les
couleurs du ROUSSILLON. Signe du destin tu nous auras quitté le jour d’un grand match
USAP BAYONNE auquel tu aurais tant aimé assister, BAYONNE était pour toi une
référence l’époque de Jean DAUGER.

Sa carrière à haut niveau se terminant il revint à son club d’origine le Racing, auquel il y
consacrera beaucoup de son temps en tant que joueur, puis entraineur, puis président.
Aujourd’hui sa seconde et grande famille est présente en grand nombre, rassemblée autour
de celui qui aimait ce sport et qui nous aimait, par notre présence nous voulons lui témoigner
toute notre reconnaissance et toute notre amitié et soutenir toute sa famille à surmonter leur
grand chagrin. Notre sport nous l’avons pratiqué avec passion, avec amour soyons en fière,
mais aussi dans la fraternité, la camaraderie et l’amitié. ARMEL était tout cela. À son épouse
à ses enfants et petits-enfants recevez par mon intermédiaire nos sentiments les plus profonds
en ces instants très douloureux.

Adieu ARMEL
                                                                                                              Marcel SALVAN                     






















 








- Un joueur d’exception : Puig Aubert –

 

 

       Un pur produit de la formation catalane dirigée par François Malet. Dans l’article ci-après publié en 1992, Jean Pierre Cardona
fait revivre et parler ce joueur de légende.

       ‘’ En ce 26 mars 1944, Paris est occupé par les allemands. Mais 40 000 spectateurs sont présents au Parc des Princes pour assister
à la finale du championnat de France entre l’Aviron Bayonnais et
USAP.
         Le titre reviendra aux catalans larges vainqueurs des Basques ( 
                                (20 à 05).

         Le 24 mars, deux jours avant, le numéro 15 de l’USAP,
un certain Aubert Puig qui allait devenir Puig Aubert puis et surtout le légendaire ‘’Pipette’’, fête en compagnie de ses coéquipiers son dix neuvième anniversaire. La finale approche. La tension monte dans le train qui amène le XV de l’USAP vers la capitale. Il ne faisait pas
bon voyager en cette période où la France subissait l’occupation allemande. L’équipe de Perpignan venait de ‘’sortir’’ Montferrand
en demi finale ( 09 à 04) et l’affrontement contre les Basques du fameux Jean Dauger taraudait bien des esprits.

          Nous étions presque tous des ‘’chérubins’’, à l’exception de notre regretté capitaine Jep Desclaux qui dépassait la trentaine.
Mais cette traversée assez particulière du pays deux journées
durant se déroula sans encombre. Puig Aubert, champion de France junior la saison précédente sous le maillot
‘’Azur et Or’’,
commençait à percer sous Aubert Puig.
        Aubert, c’est mon prénom, aimait-il à rappeler, on m’avait
baptisé Puig Aubert car il y avait un autre Puig à l’USAP.

       Je faisais partie des insouciants du groupe. Pourtant,
la ‘’trouille’’ me prit dans le tunnel débouchant sur la pelouse
du Parc. Nous fûmes retenus vingt bonnes minutes à l’intérieur en raison d’une alerte aérienne. Le stade fut évacué. Mais tout rentra dans l’ordre. Comme préparation d’avant match, on aurait pu
trouver mieux.

       Perpignan s’appuyait sur un ensemble remarquable. C’était une grosse équipe ; Desclaux, Trescases, Crespo, Blanc, Ulma, Carrère etc…..  possédaient la grande classe. Résultat des courses, notre supériorité se traduisit par une différence de cinq essais. Je n’étais
pas encore le butteur attitré de l’équipe. Desclaux, le capitaine, me laissa l’honneur de convertir le dernier essai inscrit en coin par Trescases. Je pris le ballon, le déposai sur la pelouse et du bord de
la touche, je l’ai expédié entre les poteaux. A ce moment précis,
une clameur immense se leva. Les supporteurs catalans venaient d’arriver au Parc. La fin du match était proche.

        Ce match, Perpignan le domina pratiquement de bout en bout, derrière en particulier et grâce au bon paquet d’avants qui
s’illustra à sa manière. Un jeu alerte, offensif à souhait de toute l’équipe,
déboussola les légions de Dauger, Alvarez et Ellisalde.
J’eus même l’audace du haut de mes dix neuf ans et de mon mètre soixante six de relancer à plusieurs reprises à partir de l’en but. Desclaux en joueur expérimenté n’arrêtait pas de me crier
‘’non, pas ça’’. Il me balança même une gifle pour freiner mon
ardeur offensive.

       Le lendemain,’’ l’Auto’’ qui allait devenir plus tard ‘’l’Equipe’’ titrait à la une : ‘’On attendait le toréro Jean Dauger, on vit le petit prodige catalan Puig Aubert.’’

       Huit mois s’écoulèrent. Une bombe, encore une, éclata à
l’USAP. Puig Aubert signait à Carcassonne XIII. Le choix avait été délicat. Une aventure rocambolesque s’en suivit. Mon père lança les gendarmes à mes trousses pour que je rejoigne au plus vite le
domicile familial. Vaine tentative. Pour rester à l’USAP, les
dirigeants me proposèrent des espèces sonnantes et trébuchantes. Carcassonne et Toulouse firent monter les enchères. Le président de l’USAP multiplia les interventions pour me conserver dans le giron usapiste. A Perpignan, les primes de match n’existaient pas. J’avais droit en tout et pour tout à deux paquets de gauloises par semaine.
Et comme je fumais beaucoup, je les coupais en deux pour en faire
des pipettes. De là est né le sobriquet de ‘’Pipette’’ dont
m’affublèrent les journalistes de l’époque.

Puig Aubert, une petite merveille, une incomparable vedette,
amorçait une fantastique carrière
jalonnée d’exploits qui allaient le consacrer comme le plus grand joueur et butteur des deux rugbysde tous les temps.’’
                                                                  H Sicart.

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- 1908-1910 :
L’A.S.P. sous les présidences d’Albert Trilles et de Jep Xambo -

 

 

      Au début de la saison 1908, sous la présidence d’Albert Trilles,l’Association Sportive Perpignanaise,l’ancêtre de l’U.S.A.P., quitte le terrain du Champ de Mars et s’installe dans un nouveau
stade aménagé, l’actuel stade Jean Laffon, situé sur la Route de
Thuir. Les premiers matchs s’y disputèrent cependant sans barrière . Le spectateur côtoyait les lignes de touche et de but. Un mois après l’inauguration, on améliora l’infrastructure mise en place. Les spectateurs purent s’appuyer sur une barrière en bois , placée en retrait des lignes de touche et de but. On dota le stade d’un garage pour bicyclettes et automobiles, peu nombreuses à cette époque. Perpignan put alors se vanter de posséder le plus beau stade de la région Languedoc-Roussillon.

       Ces aménagements permirent aux dirigeants de l’A.S.P. de
pouvoir faire payer l’entrée du stade aux
Spectateurs et d’alimenter
en partie le budget du club.C’est ainsi que dès le match
d’inauguration qui opposa l’A.S.P. au Football Club Lézignanais, champion de l’Aude, les spectateurs pour avoir accès aux chaises installées le long des lignes de touche payèrent 0,75 francs et pour rester debout à bonne distance derrière ces chaises, ils
déboursèrent 0,25 francs. Un service de tramways fut mis en place.
En ce temps, la plus grande partie des spectateurs, le dimanche après-midi, rejoignait le stade à pied, devisant gaiement entre amis.
Ils avaient apprivoisé le temps ; ils en étaient maîtres.

Mille personnes assistèrent à ce match inaugural.

        Même en ce début du XXème siècle, les aménagements d’une enceinte sportive ne suffisaient pas à attirer le public. On y ajouta d’autres ingrédients. On gérait sainement mais cela ne suffisait pas. Autour de l’événement sportif, on suscita un engouement populaire. A cet effet, Jean Payra et Albert Bausil fondèrent le journal
’Le Cri Catalan’’ dans les pages duquel ils ne cessèrent de célébrer l’amour du pays catalan et des couleurs ‘’Sang et Or’’jusqu’à ce que le peuple catalan fasse peu à peu corps avec l’équipe de l’A.S.P.
Chaque victoire de cette équipe fut fêtée dans ce nouveau journal comme celle de tout un peuple, le peuple catalan. Ce phénomène d’identification était lancé et va se développer tout au long du
XXème siècle.

Après Lézignan, l’A.S.P. battit l’équipe de Béziers sur le score de
17 à O devant plus de deux mille spectateurs. Le rugby attire et s’enracine dans la société catalane.

Cette communion populaire repose sur des résultats dus à
l’influence bénéfique de l’international Lagaillarde, employé dans
les établissements Violet à Thuir. C’est le troisième ingrédient qui contribua à l’épanouissement du rugby en terre catalane.
Ce brillant joueur ordonna et disciplina le jeu des avants qui se dispersaient trop souvent en exploits individuels. Il leur apprit à
jouer collectif et à améliorer une technique individuelle trop rudimentaire.

Ce travail porta ses fruits. C’est ainsi que l’A.S.P. disputa et
remporta contre les étudiants de Montpellier le 2 février 1908 sur
le terrain de la route de Thuir, balayé par de violentes bourrasques
de vent et de neige la finale du championnat du Languedoc.
Maderon, le demi d’ouverture de l’AS.P. marqua en toute fin de
partie l’unique essai, celui de la victoire.

Cette défaite entraîna la chute de l’équipe des Etudiants de Montpellier qui ne participa pas l’année d’après au championnat du Languedoc.

Les dirigeants de l’A.S.P. continue à bâtir. Le 1er Juillet 1909, sur le stade de la Route de Thuir, ils lancèrent la construction d’une
tribune en ciment.

Au cours de la saison 1908, l’équipe du Perpignan Sportif, sous la présidence de Marcel Laborde, se dresse en rivale de l’A.S.P. et la concurrence mais si cette équipe a de l’ambition, elle manque de moyens pour se développer. Marcel Laborde le comprit très vite et
en septembre 1909, accepta la fusion proposée par les dirigeants de l’A.S.P. qui constituèrent un bureau, composé de Jep Xambo,
président, de jean Laffon et Marcel Laborde, vice-présidents, de Déjean, trésorier, de Louis Delmas, secrétaire et d’Albert Bausil, délégué au comité du Languedoc.Par cette fusion, l’A.S.P. se
renforça en s’enrichissant de joueurs talentueux Camille Canredon, Nigoul, Saguy, Paillissé, Delmas. La saison 1909-1910 s’annonçait
sous d’excellents auspices . L’A.S.P. volait de victoire en victoire mais les basques de l’Aviron Bayonnais le 20 mars 1910 , en demi finale
du championnat de France , anéantirent à Auch les espoirs catalans en battant l’A SP par 13 à 3.

L’ A.S.P. joue maintenant dans une catégorie supérieure, celle du championnat de France .

Henri Sicart .
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 - Pierre ALBITRE-


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- René PUIG -

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Elie Delonca nous a quitté ,
                              le 19 janvier 2012
.

Au revoir de Jo Respaut avant l’incinération de son ami au crématorium de Torremilla. Jo Respaut était flanqué d’André Sanac, Armel Costa, Joseph Conill et Henri Doutres, ses compagnons de route rugbystique en 1952.

 

«  Elie mérite que ses derniers camarades, avec qui le liait une amitié solide de plus de soixante années, soient ici, aujourd’hui, pour lui rendre un dernier hommage hautement souhaité.

Elie savait allier urbanité et humilité dans son comportement social,-franchise, parfois rude, et gentillesse à autrui,-personnalité affirmée et solidarité compréhensive,- le tout servi par une parole sans excès, ni agressive ni blessante.

Athlète complet, au port altier coiffé d’une chevelure abondante et d’un profil aquilin, il était joueur-type du pack Usap, mobile et musclé, manieur de ballon et pénétrant à l’impact, sérieux et efficace dans l’action,  dur au combat et bon conseil pour l’équipe, toujours respectueux des règles et des joueurs adverses.

Elie joua au plus haut niveau de la hiérarchie du Rugby français pendant plus de huit ans mais il ne put remporter la finale du Championnat de France de 1952 avec ses copains de l’Usap dont nous étions, Armel, Joseph, Henri, André et moi, match au cours de laquelle il marqua un essai injustement refusé.
        A la fin de ce match, il s’avança vers l’arbitre, sans élever sa voix monocorde mais droit dans les yeux, et lui dit simplement :

   « Je crois que vous ne pouvez pas être fier de vous. »
                                                              Sacré Elie.

 

Il ne manqua ensuite aucun des moments d’intense amitié réunissant, en public et en privé, les anciens joueurs de l’Usap Asso avec qui il avait bâti un pan de son histoire exaltante.

Les grognards de l’Usap Asso et l’Académie Jean-Michel Canet te disent ici un dernier au revoir au moment où tu rejoins, là haut dans les champs élyséen, ceux de 1952 qui t’y ont précédé.

A reveure, Elie !

 

                                                    Jo Respaut.

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-Desclaux et le Bouclier de Brennus
- H.Sicart.

-Le 07 Mai 2010-

 

Très Cher ‘’Jep’’, Chers Amis,

L’Académie J.M.Canet – Association Rugby Catalan- tient à rappeler brièvement à tous qui tu étais : un joueur doué qui a porté très haut les couleurs de l’USAP de 1933 à 1955, un brillant trois quart centre aux crochets dévastateurs symbole du rugby catalan.

Tu as été un des artisans, le plus souvent capitaine, des titres de gloire obtenus par l’USAP, ton club, que, par ton jeu et ton éthique, tu incarnais. Tu as été avec l’USAP, champion de France en 1938, 1944 en tant que joueur et en 1955, en tant qu’entraîneur.

Ton fils José, l’équipe, ceux de 1955, les membres de l’Académie J.M.Canet, gardiens de la mémoire du rugby catalan et tous ceux qui ont bien voulu se joindre à eux ont tenu à être là en cette matinée du mois de mai 2010 pour t’informer que 54 ans après, USAP, ton club, a remporté le bouclier de Brennus que nous nous devions de t’apporter en signe d’hommage et de reconnaissance pour tout ce que tu as donné, pour tout ce que tu as fait pour le rugby catalan.

Joseph, chers amis, ce qui reste après ces titres, ces victoires,

Ce n’est pas la joie du triomphe, l’ivresse du retour, les réceptions à l’hôtel de ville ou à la préfecture…..ça, ce sont des fleurs qui se fanent ; C’est l’image, c’est l’éblouissement, c’est le souvenir de l’exaltation, c’est le souvenir de ce moment parfait, de ce bonheur total où , tous ensemble, nous n’avons su que pleurer de joie sous le poids écrasant de la victoire parce que ces titres, ces victoires, ce n’est pas seulement le caprice d’un jeu qui nous les a donnés, c’est le réveil d’une foi et la résurrection d’une âme : l’Ame Catalane.

Tant que cette âme sera vivante, d’autres titres seront à venir.

                      

                                 
Le 7 Mai 2010, la réunion de l'Académie du Rugby Catalan s'est tenue à COLLIOURE car il avait été décidé d'amener le Planchot sur la tombe de Jep DESCLAUX à cette occasion André nous dit quelques mots sur Jep.

                  

.

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-L' Hommage à Marc Rousset de ses Céquipiers CRABOS-

Voilà donc un peu plus de 62 ans que naissait Marc le 22 février 1950.Il nous quitte alors que tout jeune retraité, il commençait à peine écrire une nouvelle page de son histoire déjà riche et exemplaire, faite de travail, d’efforts, d’épreuves et d’altruisme.Marc, je me présente devant toi comme le porte parole de tes amis et coéquipiers de la saison 1966/1967 pour te rendre hommage.Ce groupe tu l’as intégré et enrichi, venant du Foyer Laïque du Haut Vernet club formateur très cher à Jean, ton père, éducateur de talent et supporter attentif.Avec cette équipe, entrainée par Henri Sicart et managée par Edward Baillette lui aussi trop tôt disparu, tu es devenu champion de France CRABOSavec l’USAP en Mai 1967.

Trois quart talentueux et généreux sur le terrain, tu es un élève brillant et sérieux dans tes études. Professeur d’éducation physique et sportive après ta réussite au concours du CAPES, tu réussis aussi celui de l’agrégation.

Du CREPS à l’INSEP où tu croises les pas du maître Villepreux, tu laisseras les empreintes positives de celui qui aspire à l’excellence, toujours en recherche, toujours en éveil.

Au fil de tes affectations professionnelles, tu intègres sportivement les rangs du Racing Club de France, et poursuis ta carrière rugbystique à Mont de Marsan suite à ta mutation dans les Landes où tu finis ta carrière de joueur à Villeneuve les Marsans, arrivé en 1978/79, coéquipier serieux, combatif et incontournable tu y laisses un souvenir impérisable.

A partir de 1980 avec Christian Cazade, tu t’occupes de l’entrainement en restant joueur et tu introduis des méthodes révolutionnaires. Tu restructures l’école de rugby ce qui reste pour toi un très grand succés. Enfin le 14 avril 1991 tu participes à la grande fête du rugby de la Cote d’Argent organisée sur le stade Jacques Dutin à Villeneuve.

Marc tu portes en toi, les gènes de la formation et de l’éducation, tu rejoins l’équipe pédagogique du Comité du Pays Catalan et en 1992/1993 tu entraînes les cadets de l’USAP puis tu reviens à ton club de cœur le très cher Foyer Laïque du Haut Vernet. La boucle est bouclée.

Depuis quelque temps déjà, les anciens de 1966/1967 ont pris l’habitude de se réunir annuellement lors d’une journée estivale de retrouvailles, empreinte de nostalgie, de convivialité et de fraternité, aujourd’hui, après Alain Berjouan, Michel Barrière et Robert Olivéras, Marc, comme tu vas nous manquer !

Gaby, Jean, Jérôme, Romain, Jean-Michel, Colette, Evelyne, nous prenons part à votre immense chagrin, nous pensons à Marc comme à celui qui a le visage rayonnant de l’amitié et de la générosité.

Adeu amic

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